Les déferlantes – de Claudie Gallay

les deferlantes

Quatorze jours. C’est le temps qu’il m’a fallut pour boire la tasse ! Très honnêtement, les 200 premières pages étaient un peu insipides. On se demande à quoi sert ce bouquin, l’histoire, ce qu’on essaye de nous faire ressentir. Et puis j’ai prolongé l’expérience parce que finalement, l’auteure nous fait voyager. Tous les soirs, je me disais « en route pour la Hague ! Suis sûr qu’il va pleuvoir ! ». 200 pages et le décor n’a plus de secret pour moi. L’intrigue commence alors vraiment et on ne lâche plus ce roman ! Des personnages aux esprits un peu « flingués » quand même, qui réagissent comme je ne saurais jamais réagir et qui ont des vies bercées par les vagues, la nature. Je ne sais rien de cette auteure mais s’il n’y a rien d’autobiographique, chapeau bas pour avoir trouvé les mots justes pour chaque émotion. On ne pleure pas mais on a la gorge qui se serre. Après avoir voyagé sur 200 pages, je me suis installé avec eux pour les 350 et quelques suivantes. Claudie Gallay écrit la nature, le silence, les secrets et surtout la vie et sa vérité. Bouleversant !

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