Avant d’écrire, ne pas penser…

C’est ce que j’ai trouvé à cette fameuse peur. Avant d’écrire, je ne pense pas. J’ouvre mon fichier Word et je relis ma dernière cession d’écriture. Là, mon histoire m’enveloppe et je suis prête à reprendre. C’est ce que je fais depuis quatre jours et je n’ai jamais autant écrit. Je suis vraiment dans la création d’un roman et je ne connaissais pas cette expérience. C’est nouveau, c’est grisant. Un vrai bonheur !

Plus les semaines passent et plus je suis fière de mon livre. Au stade où j’en suis, je suis au cœur même de l’histoire. Il y a déjà eu plusieurs péripéties, plusieurs retournements de situations et tout cela garde un sens. Mon livre prend de l’épaisseur.

La semaine interdite, c’est, actuellement :
3 chapitres
84 pages au format livre de poche
17028 mots
Une page Facebook
et un défis.

2 thoughts on “Avant d’écrire, ne pas penser…

  1. Je pense que chaque auteur doit s’adapter à sa personnalité. Moi, le « Ne pense pas » pourrait s’appliquer dans le sens où ça risque de me bloquer et de me décourager si je me dis « j’ai encore tant à écrire, il faut faire ça et ça ». En revanche, je suis obligé de penser un peu avant d’écrire, une fois face au fichier Word ouvert et déjà malheureusement trop épais, car écrire sans réfléchir, j’y arrive rarement, et je trouve le résultat trop décousu !

    1. Quand je dis que je ne pense pas, ce n’est pas en écrivant ! Au contraire ! A ce moment là, ma tête fonctionne à 200% ! Non quand je dis que je ne pense à rien, c’est à partir du moment où je me dis « il est l’heure d’écrire » jusqu’à l’ouverture du fichier. Tu sais, c’est à cause de ce sentiment bizarre qui m’empêche de m’y mettre. Au moins, si je ne pense pas, il n’y a aucun risque. Le plus dur, c’est de s’y mettre et c’est juste 3 secondes que j’éteins ma cervelle d’écrivain 😉 !

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