Reprenons là où nous en étions…
En ce moment, je corrige… rien ! J’ai un peu de mal à reprendre la promotion donc je me dis que pour être à nouveau motivée, il faut commencer par l’écriture (ce que je préfère) et non la correction (ce que j’aime le moins…). Mais sinon, je dois mettre les corrections de Mardi de La semaine interdite du papier au ficher word. Et je dois aussi m’attaquer à la correction de Celle qui accompagne le héros ou encore à celle de ma nouvelle La roue tourne si vous souhaitez la lire comme je vous le demande ICI.
[A suivre : Q11 : En tant qu’auteur, préférez-vous écrire des nouvelles ou des romans ?]
Difficile à dire, cela dépend des périodes… quand je suis réellement motivée, les deux m’enrichissent énormément, en écrivant, je crée, en corrigeant, je réalise un véritable travail de longue haleine qui me fait progresser (un investissement). Avant, je trouvais que corriger était un véritable calvaire, avec le temps, je trouve que cet exercice est une arme très utile dont il faut apprendre à se servir 😉
Tu me rassures : avec le temps, on en vient à apprécier les corrections ?!
Oui, enfin, apprécier ou du moins y aller de moins mauvais pied 😉
Ce sera déjà un grand pas, c’est vrai. Ce qui m’ennuie, ce n’est pas vraiment le fait de corriger mais c’est de relire cinquante fois le même texte (le mien en plus !). Je connais la fin et je trouve que c’est vite ennuyeux !