Tout aussi sexy que « Patriiiiiiiiiick » (ne me faites pas croire que ça ressemble à « Orlandooooooooooo »), je suis de nouveau dans une période Bernard Werber. Les personnages de Claudie Gallay me manquent alors je sors l’artillerie lourde. Cela faisait tellement longtemps qu’un livre n’avait pas laissé de traces aussi profondes dans mon cerveau ! Je vais sans doute me pencher vers les autres livres de Gallay mais en attendant, j’ai besoin d’un bon remontant.
Il y a quelques semaines, je m’étais acheté Le miroir de Cassandre. A sa sortie aux éditions Albin Michel, le prix m’avait frustré et j’avais eu beaucoup de mal à attendre sa sortie en Poche. Maintenant que c’est chose faite (et merci d’avoir gardé la même couverture !), je le compte dans ma collection de Bernaaaard Werber.
La collection Bernard Werber ne se lit pas aussi vite que la collection Nothomb. Déjà, par le nombre de pages et la police utilisée (pas besoin de loupe pour les lecteurs d’Amélie…) mais surtout parce qu’il y a un flot de savoirs et de questions dans les livres de Werber qui font que, passer à côté, c’est passer à côté de tout.
Les Thanatonautes est, j’aime à le dire, ma bible. Le papillon des étoiles pourrait en faire partie (de là à dire lequel est l’Ancien Testament, lequel est le Nouveau…). Celui qui m’a scotché est L’Arbre des possibles et celui qui m’a déçu est Le Livre du voyage. Les fourmis (1) est le dernier que j’ai lu et je ne l’ai pas trouvé si extraordinaire que ça. Par contre, à écrire, ce devait être un régal.
Enfin bref, comme je l’avais déjà dit, je suis une fan de Werber. Il est l’un de mes maîtres dans la vie. Je l’admire par sa soif de connaissance. Il a également une manière de parler qui fait que je suis immédiatement concentrée et à l’écoute. Quant à son site officiel, c’est aussi un puits de sciences.
Si vous voulez plonger dans notre univers mais avec une vision bien plus puissante que le commun des mortels, lisez un Werber !
