Le blog de Charlotte Boyer

Résumé : Pour Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel, un poste de rédacteur artistique est une véritable gageure étant donné qu’il ne connaît rien à la question. Très rapidement, il se rend compte que son véritable travail consiste à contre-balancer celui d’un féroce critique d’art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Pourtant la maison de celui-ci est un véritable musée, sa table celle d’un fin gourmet et l’homme lui-même est brillant et satirique. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K’o Kung – Koko pour Qwilleran – qui apprécie les vieux maîtres et sait lire à l’envers les manchettes de journaux. Dans le monde apparemment paisible des beaux-arts, trois morts brutales se produisent et c’est grâce au flair de Koko que Qwilleran découvrira la vérité.

Mon avis : J’ai lu ce livre dans le cadre du Challenge Lilian Jackson Braun proposé par Sharon. Je m’attendais à un livre très compliqué, très « tarabiscoté » dans tous les sens mais pas du tout ! Il s’agit là d’un roman policier à l’américaine mais des années 65-70. Pas d’experts donc mais un chat et un journaliste un peu blasé (qui ne va pas le rester d’ailleurs) pour mener l’enquête de trois morts brutales. Très simple à lire, j’ai été plus attirée par l’univers de la presse et par le chat que par l’intrigue en elle-même. Je ne sais pas si c’est parce que c’est américain (pour moi, les policiers sont anglais ou ne sont pas) ou bien parce que ce livre date de plus de 40 ans. Je pense qu’il s’agit là d’un bon divertissement et que je dois poursuivre ma lecture des autres aventures de Koko (le chat). Il m’en reste donc 29… Je vais peut-être en piocher trois ou quatre puis lire le dernier.