Résumé : Dans le Maine, de nos jours. A 42 ans, Laura Warren sent qu’elle est à un tournant de sa vie. Depuis quelques temps, cette technicienne en radiographie, au professionnalisme et au sérieux loués par tous, se surprend à être de plus en plus touchée par la détresse de ses patients. Elle ne trouve pas beaucoup de réconfort à la maison : son mari est sans emploi depuis 19 mois ; son fils, artiste dépressif, se morfond depuis sa rupture amoureuse et sa fille s’apprête à partir à l’université. Aussi voit-elle dans cette conférence à Boston une parenthèse bienvenue, sans imaginer que ces quelques jours vont bouleverser à jamais son existence… Richard Copeland est lui aussi en pleine confusion. A l’étroit dans un mariage contracté par dépit plus que par amour, incompris par une femme devenue de plus en plus distante, frustré professionnellement et connaissant de grandes difficultés avec son fils, un garçon brillant mais psychologiquement très instable, il rêve de s’échapper. Entre ces deux esseulés, une folle passion, un aperçu du bonheur, un avant-goût de liberté. Une autre vie serait-elle possible ? Et pourtant… Et si, finalement, la plus grande peur de l’homme était d’accéder au bonheur ?
Mon avis : Je suis une immense admiratrice de Douglas Kennedy mais je suis rassurée de ne pas tout apprécier. Je ne vire pas encore groupie ! Non désolée, ces Cinq jours m’ont pris une éternité car vraiment je n’ai pas accroché du tout. Les cinquante premières pages et les cinquante dernières, ça allait, mais entre, non. Les dialogues, les personnages… Pas convaincue. Par contre, je suis toujours autant fasciné par la capacité de cet homme à si bien parler des femmes.