Résumé : « »L’amour, Malaussène, je vous propose l’amour ! » L’amour ? J’ai Julie, j’ai Louna, j’ai Thérèse, j’ai Clara, Verdun, le Petit et Jérémy. J’ai Julius et j’ai Belleville… »Entendons-nous bien, mon petit, je ne vous propose pas la botte ; c’est l’amour avec un grand A que je vous offre : tout l’amour du monde ! »Aussi incroyable que cela puisse paraître, j’ai accepté. J’ai eu tort.» Transformé en objet d’adoration universelle par la reine Zabo, éditeur de génie, Benjamin Malaussène va payer au prix fort toutes les passions déchaînées par la parution d’un best-seller dont il est censé être l’auteur.Vol de manuscrit, vengeance, passion de l’écriture, frénésie des lecteurs, ébullition éditoriale, délires publicitaires, La petite marchande de prose est un feu d’artifice tiré à la gloire du roman. De tous les romans.
Mon avis : Je suis de plus en plus surprise par le ton de cette saga. On est loin de l’humour grossier. En plein dans le suspense et on tremble même pour le héros, Benjamin Malaussène. Chaque livre peut se lire indépendamment des autres mais pour avoir ce pincement au cœur et tomber de haut à chaque chapitre, commencer par Au bonheur des ogres et poursuivre avec La fée carabine ne donnera que plus de hauteur à cette Petite marchande de prose. Le titre, rien que le titre ! Lisez-le pour le comprendre.