Chaque jour, je me promène une petite demie-heure sur Twitter à la recherche d’actu sur le monde du livre. Aujourd’hui, c’est une photo que Tatiana de Rosnay a posté sur son compte qui m’a beaucoup intéressé. Au printemps prochain, les USA vont avoir l’honneur de découvrir son dernier livre The Other Story (chez nous, A l’encre Russe. Je ne me demande d’ailleurs pas pourquoi on a enlevé le mot Russe du titre pour les américains…). Bref, c’est l’image qui m’a touché (Tatiana est mondialement lue hein, je ne m’étonne même pas !). Quelle sublime couverture !! J’avais déjà une folle envie de trouver la couverture de Rose en format poster pour l’accrocher dans mon salon mais celle-ci vient faire concurrence ! Note à son équipe : créez au moins des fonds d’écrans pour ordinateur et téléphone ! S’il vous plaît ! Je vous jure d’exhiber mes écrans !
En tous cas, ça a été dit et redit : on ne juge pas un livre à sa couverture. Pourtant, qui ne le fait pas ? Ok, il y a des titres qui nous attirent plus que d’autres comme Les gens heureux lisent et boivent du café ou encore Au-delà de cette limite, votre ticket n’est plus valable. Mais si l’on ne connait pas l’auteur, que le titre est un peu banal… il nous reste quoi ? La quatrième de couverture ? Si vous découvrez Werber ou Nothomb, je dois vous prévenir que vous n’avez que trois lignes… Donc voilà, je juge très souvent un livre à sa couverture.
Et comment je suis choisis les couvertures de mes livres alors ? Elles me viennent pendant l’écriture généralement. Et si je n’ai pas d’inspiration (ou que trop d’idées se précipitent et que je ne peux pas choisir), je lance un concours comme je l’avais fait pour La Semaine Interdite (au temps où je croyais l’écrire en trois semaines…).
Voilà, j’ai décidé de me retourner sur mes couvertures et de vous faire découvrir la prochaine !
