Résumé : Un univers impitoyable! Ned Allen est chef des ventes publicitaires pour la région Nord-Est de CompuWorld, un magazine informatique en pleine croissance. Son objectif annuel, son obsession : 29 millions de chiffre d’affaires ! A la clé, une prime de 60 000 dollars. Ned Allen vit à cent à l’heure… et à crédit dans le New York des golden boys. Brusquement, tout bascule. CompuWorld est racheté par un concurrent. Ned est licencié. Il s’en prend violemment à celui qu’il juge responsable de sa disgrâce… et se retrouve « grillé » auprès de tous les employeurs de son secteur. Comble de malchance, son couple craque et sa femme le chasse de l’appartement conjugal. Pour sortir la tête de l’eau, il accepte alors un emploi proposé par un vieil ami…
Mon avis : J’ai changé la toute fin du résumé ci-dessus pour ne pas gâcher la surprise. Douglas Kennedy prend son temps pour faire vivre l’enfer à son personnage. Un vrai petit bijou et une histoire menée tambours battants. J’ai mis plusieurs jours à me « remettre ». Ce bon Ned me manque encore ! Les désarrois de Ned Allen est le deuxième livre de Douglas Kennedy que je lis après La femme du Vème. J’ai eu un vrai coup de coeur pour cet hauteur qui, et je vais me faire des ennemis, écrit divinement bien pour un américain ! Sans doute parce qu’il vit en Europe !