Pendant longtemps (ça se compte en années), quand mes émotions étaient trop fortes, je faisais la sourde oreille ou bien je m’énervais. Mercredi dernier, j’ai fait ce que je n’aurais jamais dû cesser de faire : j’ai écrit. Pendant près d’une heure, j’ai… oui c’est ça, j’ai posé mes tripes sur le clavier et le papier (je fais les deux à la fois, c’est le bordel mais seulement en apparence).
J’écris deux sortes d’histoires. Les marrantes, celles qui me divertissent, celles qui m’amusent (comme Adrien Poche ou Celle qui accompagne le héros ou Caprice). Et celles qui sont vitales parce qu’elles doivent sortir (A toi de voir, Mémoire vive, Petite mort). Ce texte que j’ai commencé, il y a de grande chance pour qu’il comporte un peu des deux. Un peu d’essence pour enflammer le tout et que la raison reprenne le dessus pour construire une intrigue.
Pour me lancer, il me faut connaître cet instant de grâce, où le cœur explose… presque ! Un juste dosage que je commence à maîtriser. Juste ce qu’il faut de vibrations en moi. Ce sera d’ailleurs le titre (provisoire ?) de ce projet : Nos vibrations.