Oui, c’est comme ça que je le vois. Je vois l’écriture, l’acte d’écrire une histoire en tous cas, comme un sport. Et autant dire que je vais commencer tout petit petit parce que mon cerveau n’est pas en forme du tout. Je préviens que je n’ai rien contre les obèses hein. Au cas où. Parce qu’entre mon dernier livre publié et aujourd’hui, les réseaux sociaux et les blogs sont devenus encore plus teigneux, je ne veux pas être associé à la méchanceté gratuite. Mon cerveau, mes neurones plutôt, ont besoin d’être stimulés, entraînés pour sortir de leur immobilisme. Ils sont comme coincé dans un sable mouvant. Peu confortable mais plus simple à gérer que de tenter une sortie.
Vous ne comprenez rien à mon charabia ? C’est normal. Mon cerveau est obèse je vous dis !