Ce soir, je ne vous écris toujours pas pour vous dire que j’avance dans l’écriture de La semaine interdite mais pour parler de lecture à nouveau.
Samedi, j’ai eu la joie de voir s’installer chez moi une nouvelle bibliothèque de la marque qui « Njut » à tout va. Enfin ! Je peux maintenant voir les tranches de mes livres toutes dans le même sens car ça y est, l’Ordre est arrivé ! Je peux aussi voir les livres qu’il me reste à lire et… Ô joie ! En ajouter !
Aucun souci me direz vous… Et bien si ! Franchement, soyez honnêtes comme je vais l’être avec vous là, maintenant, tout de suite : quand arrive la dernière page du roman qui nous a accompagné toute la semaine ou le mois, ce n’est pas terrible de savoir que dans quelques minutes, vous refermerez ce livre, qu’il vous a livré ses secrets et que ces moments ensembles sont terminés ? J’ai toujours un sentiment étrange quand arrive la fin d’un livre. Je suis prise par l’excitation de connaître la dernière phrase alors je lis plus vite mais mon coeur s’emballe signe que l’émotion devient trop forte. Heureusement, les livres se referment, trouvent une place sur une étagère mais on ne les oublie jamais. Si cela arrivait, leurs tranches nous diraient : « Tu es bien certaine de m’avoir déjà lu ? Allez, reprends-moi ! Quand tu tourneras la dernière page, c’est une nouvelle de ta vie qui s’écrira ».
Très juste… J’aime également que ceux qui m’ont entraînée dans leur univers restent à portée de vue comme un clin d’oeil qui se renouvelle…
C’est vrai. Les livres sur les étagères sont comme les photos aux murs : ils nous suivent du regard.