Résumé : L’amour et la solitude, la possibilité de changer de vie, le hasard des rencontres, les choix qui s’offrent à nous, l’art de la fuite… Douglas Kennedy explore ses obsessions et livre une variation en douze mouvements, douze histoires tour à tour nostalgiques, drôles ou douces-amères dans lesquelles l’auteur se dévoile comme jamais pour revisiter le discours amoureux.
Mon avis : Douglas Kennedy a écrit douze nouvelles parfaites. Désolée, je n’arrive pas à employer de mots moins élogieux. Ses romans Le désarrois de Ned Allen, L’homme qui voulait vivre sa vie et La femme du Vème (Comment ? Je n’ai pas écrit d’avis ici ?!) sont encore gravés en moi. Il y a une psychologie des personnages très réaliste, des histoires profondes et bien ficelées. Pour moi, c’est l’écrivain américain le plus doué de notre époque.