Résumé : Un poste important, une vaste maison, une femme élégante, un bébé : pour tout le monde, Ben Bradford a réussi.
Pourtant à ses yeux, rien n’est moins sûr : de son rêve d’enfant – être photographe – il ne reste plus rien. S’il possède les appareils photo les plus perfectionnés, les occasions de s’en servir sont rares. Et le sentiment d’être un imposteur dans sa propre existence est de plus en plus fort…
Mon avis : Comme toujours avec Douglas Kennedy, le résumé de la quatrième de couverture n’est qu’une infime partie de l’histoire. Le reste ? Du génie ! Le mot est-il trop fort ? Je ne pense pas. L’écriture est impeccable. Pas de longues phrases aux mots rares mais une construction et un vocabulaire parfaits. Quand à l’histoire, mais où va-t-il chercher tout ça ? Parce qu’il a sacrément dû se creuser les méninges pour sortir son personnage de ce chaos. J’ai déjà lu deux romans de Kennedy : La femme du Vème(comment? Je n’en ai pas parlé ici ???) et Les désarrois de Ned Allen et à chaque fois, c’est de mieux en mieux. Cinq jours m’attend. Le temps de me remettre de mes émotions ! Je vous conseille ce roman. Non, je vous oblige à le lire !!! Ps : j’ai regardé la bande annonce du film et j’ai été très déçue. Beaucoup de différences… Décidément, je ne verrais jamais un film tiré d’un livre (à part Christine…)