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Finir une histoire

En ce moment, je mets les points sur les I (les barres aux T et le reste vous savez). Je mets surtout des points finaux. Aux histoires de ma vie, aux histoires que j’écris. Je peux vous dire que les deux font peur mais que les deux font du bien. Comme un soulagement, comme si les choses reprenaient leur place et que la route se poursuivait. Et c’est ce qu’il se passe.

J’accepte d’être toujours infichue de terminer l’écriture d’un roman. On verra. Ça se fera peut-être un jour. En ce moment, je me remets aux textes courts. Des poèmes et des nouvelles. L’inspiration me vient de mon quotidien, des gens que je côtoie. J’ai arrêté de me mettre une pression inutile (inventer le plus possible pour qu’on ne reconnaisse ni mes failles ni les gens), j’écris d’un seul jet, frime cinq minutes auprès de mon mari et passe à la correction.

Est-ce que tout ça arrivera sous vos yeux ? Pour l’instant, j’hésite encore à trouver un pseudo. Voir un proche avec l’un de mes textes dans les mains me fait le même effet que lorsque je cauchemarde d’être nue dans le bus (vous l’avez déjà fait celui-là ? Rassurez-moi !).

J’ai donc terminé une nouvelle pour un concours, j’ai écris un poème sur l’actualité il y a un quart d’heure (il rejoindra les cinquante autres au fond de mon ordi), j’ai une idée très précise d’un recueil de nouvelles, le début d’Adrien Poche 3, 30% d’un roman commencé et recommencé six fois depuis octobre, 90% d’un roman écrit il y a 7 ans… Bref, du neuf, du vieux mais du concret.

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